Tant pis pour le repassage, la vaisselle et le rangement qui attendront des jours moins beaux. Il serait dommage de ne pas profiter du bel été indien qui s'offre à nous. Deux balades en deux jours, c'est du luxe pour une maman qui travaille et qui n'a que ses week-ends pour "jouer" à la ménagère , mais tant pis, j'ai du retard de balades à rattraper.
Le printemps et l'automne sont vraiment les saisons idéales pour la randonnée. On évite les chaleurs assommantes de l'été et ses touristes. Le printemps et ses fleurs, l'automne et ses couleurs...
Le sentier balisé GR9 qui permet de monter au Devès, continue le long de la montagne de Vaux. En bout de montagne il faut le quitter pour revenir par les crêtes en effectuant ainsi une boucle qui fait le tour de la montagne. Notre point de départ est situé au col du Pontias, où nous sommes montés directement en voiture par manque de temps. Le col est situé entre la montagne de Vaux et la montagne du Devès. L'itinéraire choisi, qui porte le numéro 64, annonce 2h30 et 6 km de marche.
La première partie de la balade s'effectue sur la pente de la montagne exposée au sud, recouverte d'une végétation typiquement Méditerranéenne : pins d'Alep, Chênes Vert, Genévriers de Phénicie, Genêts scorpion (attention ça pique)...
Cette excroissance se développe sur un bourgeon de feuille, en réaction à la ponte d'un puceron par lequel le pistachier est parasité. Elle est destinée à abriter les œufs de ce parasite.
Le sentier nous offre sur sa gauche un point de vue exceptionnel sur Nyons.
Impossible de se perdre : suivre le balisage jaune n°64 et les marques rouges et blanches. C'est tout droit !
Le GR9 monte doucement le long de la montagne pour atteindre au final 870m d'altitude.
A l'approche du point de bifurcation nous remarquons de plus en plus la présence de champignons ici et là. Je n'y connais rien et me dis que s'il y en a encore autant, c'est sans doute qu'ils ne sont pas comestibles.
Toutefois, si quelqu'un est capable de me certifier du contraire, merci de bien vouloir me l'indiquer sur ce blog, je retournerais les chercher !!
Ça au moins, je suis sûre que ce n'est pas comestible.
Mais qu'est ce que c'est beau !!
Au final, désireuse de ne pas rentrer bredouille, je ramenais un malheureux petit bolet, car ça je connais, et je sais que ça se mange. Mais noyé dans mon omelette de piteux champignons de Paris de supermarché, je n'ai même pas pu en apprécier le goût...
Voilà la bifurcation.
Nous, nous laissons le GR9 qui part sur la gauche vers le col de Vaux et nous prenons le chemin du retour sur la droite, direction les crêtes de la montagne.
Avec un panorama différent...
La vallée de l'Eygues
Et une végétation légèrement plus verte et plus touffue.
Ça descend comme c'est monté : tout doucement.
Montre en main : 3h 3/4 avec deux paires de petites jambes. Et oui, nous aimons flâner, observer, photographier, goûter, refaire les lacets...
Le sentier balisé GR9 qui permet de monter au Devès, continue le long de la montagne de Vaux. En bout de montagne il faut le quitter pour revenir par les crêtes en effectuant ainsi une boucle qui fait le tour de la montagne. Notre point de départ est situé au col du Pontias, où nous sommes montés directement en voiture par manque de temps. Le col est situé entre la montagne de Vaux et la montagne du Devès. L'itinéraire choisi, qui porte le numéro 64, annonce 2h30 et 6 km de marche.
Le col du Pontias
La première partie de la balade s'effectue sur la pente de la montagne exposée au sud, recouverte d'une végétation typiquement Méditerranéenne : pins d'Alep, Chênes Vert, Genévriers de Phénicie, Genêts scorpion (attention ça pique)...
Galle de pistachier
Cette excroissance se développe sur un bourgeon de feuille, en réaction à la ponte d'un puceron par lequel le pistachier est parasité. Elle est destinée à abriter les œufs de ce parasite.
Le sentier nous offre sur sa gauche un point de vue exceptionnel sur Nyons.
Impossible de se perdre : suivre le balisage jaune n°64 et les marques rouges et blanches. C'est tout droit !
Le GR9 monte doucement le long de la montagne pour atteindre au final 870m d'altitude.
A l'approche du point de bifurcation nous remarquons de plus en plus la présence de champignons ici et là. Je n'y connais rien et me dis que s'il y en a encore autant, c'est sans doute qu'ils ne sont pas comestibles.
Toutefois, si quelqu'un est capable de me certifier du contraire, merci de bien vouloir me l'indiquer sur ce blog, je retournerais les chercher !!
Ça au moins, je suis sûre que ce n'est pas comestible.
Mais qu'est ce que c'est beau !!
Clavaire dorée
Au final, désireuse de ne pas rentrer bredouille, je ramenais un malheureux petit bolet, car ça je connais, et je sais que ça se mange. Mais noyé dans mon omelette de piteux champignons de Paris de supermarché, je n'ai même pas pu en apprécier le goût...
Voilà la bifurcation.
Nous, nous laissons le GR9 qui part sur la gauche vers le col de Vaux et nous prenons le chemin du retour sur la droite, direction les crêtes de la montagne.
Avec un panorama différent...
Vue sur la montagne Angèle
La vallée de l'Eygues
Et une végétation légèrement plus verte et plus touffue.
Ça descend comme c'est monté : tout doucement.
Montre en main : 3h 3/4 avec deux paires de petites jambes. Et oui, nous aimons flâner, observer, photographier, goûter, refaire les lacets...
15 commentaires:
j'adore le petit chemin au milieu des boix.
mais le pistachier y fait les pistaches (j'adore les pistaches)?
y faut marcher beaucoup de part chez toi?! j'adore pas trop marcher.
Le pistachier dont il est question dans ma balade est soit un pistachier térébinthe, soit une pistachier lentisque (pour le savoir il aurait fallu que je compte les folioles). Ils font des fruits très petits et aigres. L'arbre dont sont issues les pistaches que l'on consomme est de la même famille : c'est le pistachier vrai (Pistacia vera L.)
Chantilly, si tu n'aimes pas marcher, tu peux toujours courir... ;-)
..."térébinthe, lentisque, folioles"...
...Mazette, bientôt prix Nobel de botatanique (les phalloïdes) la "Lena26"...
...et "Lena26" bientôt conférencière à l'Université Pop des vieux, sûr !
...bonjour les jetons de présence futurs!....pour quand le 4x4 ?
Pas tout compris mais merci quand même pour la visite.
PS : il est possible de signer son commentaire
La "Lena26"
en vla une balade comme je les aime !
Ca manque de poireaux et de radis dans ce coin.... ;-)
Worldmanu voudrait-il me faire visiter son jardin ?
Chantilly : il y a beaucoup à marcher dans le coin mais il y a des balades pour grand et petit marcheur.
BONJOUR,
heureux de découvrir ce blog en cherchant des balades sur nyons, on aime beaucoup!!!!
on part de ce pas au pontias !
pico
Superbe description de rando, je compte passer par là en VTT depuis Venterol par le col Flachet et celui des Vaux direction Nyons par la crête, connaissant une partie du parcours (ou peut être l'ensemble) as tu un avis sur la faisabilité ?
Bravo pour tes photos où j'ai pu voir la taille des sentiers et apprécier les beaux points de vues. j'essaye d'éviter les pistes pas sympas pour 4x4.
Merci,
François
Si je me souviens bien, c'est praticable en VTT. Il est vrai que lorsque je me promène, je ne pense pas aux vélos, j'en ai bien un mais c'est pas trop mon truc pour l'instant. Côté nord par la crête ça me semble un peu plus dangereux mais ça doit être faisable. Le plus simple c'est pas le sud, là aucun souci.
Merci de t'intéresser à mon blog.
Merci, sur la carte j'avais senti ce que tu me confirmes, alors ce sera par le nord. J'ai visualisé toutes tes randos, c'est super pour moi qui passe du temps seulement sur les cartes pour l'instant... Je suis arrivé sur ton blog en cherchant des infos sur "le Courbiou" et c'est ta balade au trou des belles qui est apparue... Faut croire qu'à part toi, personne ne parle du Courbiou sur internet...Je cherchais la meilleur descente: dauphinelle, signalette ou trou des belles ??? Et bien tes photos m'ont fait comprendre que le trou des belles n'est pas fait pour le vélo...
A bientôt, encore merci.
François
la clavaire dorée est absolument comestibles, mais faut la mélanger avec de la viandes, elles provoque quelques gaz comme le cassoulet.
les autres ne sont pas comestibles.
le champignon photo 14/18 est absolument comestible, il s'agit d'un beau bolet jaune !
aller à votre pharmacie les faire vérifier quand la saison recommencera (octobre-novembre).
Merci beaucoup Rémi, cinq ans après j'ai enfin une réponse comme quoi il ne faut jamais désespérer. Et je n'aurai jamais imaginé le "champignon corail" (la clavaire) comestible. Toutefois son goût n'étant pas d'une grande finesse je m'abstiendrai et le laisserai aux photographes car par contre elle est très belle.
Merci encore d'avoir pris la peine de répondre.
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